Deliveroo s’excuse après une notification « maladroite » annoncé par Le Point – Toute l’info en continu le
Je viens de découvrir ce papier sur la thématique « Actualité française ». Avec régal nous vous en apportons le principal dans cette publication.
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Titre exacte donné par le journal était: Deliveroo s’excuse après une notification « maladroite »
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« Appel manqué de maman » : les clients ont reçu cette notification, dimanche 26 mai, de leur application… Deliveroo. L’entreprise de livraisons de plats avait ensuite précisé, « Fausse alerte, ceci est un exercice ! Profitez de cette simulation pour souhaiter une bonne fête à votre maman ».
Une blague qui a été largement critiquée sur les réseaux sociaux, comme l’a repéré BFMTV. De nombreux internautes ont pointé une communication qui pouvait être « maladroite » pour ceux qui n’ont « plus la chance de recevoir d’appels manqués de leur maman », voire « angoissante » en ce jour de fête des Mères.
Contactée par nos confrères, l’application britannique a tenu à présenter ses excuses : « Nous regrettons l’envoi de cette notification, c’était une maladresse de notre part et nous nous excusons auprès de tous ceux que ce message a pu blesser », a-t-elle concédé.
pas Deliveroo qui envoie probablement des notifs à des gens qui n’ont plus de mère �� bonne fête ! pic.twitter.com/nbVOo3CErb
— ���������� (@alinegriet) May 26, 2024
Un précédent en 2021
Ce n’est pas la première fois que Deliveroo se fait épingler par ses consommateurs. En 2021, l’entreprise avait, pour un 1er avril, envoyé un mail à certains de ses clients, confirmant la commande de 38 pizzas, pour un montant total de plus de 450 euros.
Des clients, face à l’e-mail, ont eu peur d’une arnaque et ont parfois bloqué leur carte bancaire. L’enseigne s’était excusée, mentionnant « un poisson d’avril raté ».
L’application Lydia s’était également fait remarquer avec un « poisson d’avril » faisant croire à un virement d’un fort montant, assorti d’un message « Poisson d’avril, cette transaction date d’il y a un an », par exemple. Là encore, l’entreprise avait été largement pointée du doigt sur les réseaux sociaux.
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