Actualités nationales: les dessous du premier feuilleton quotidien de Netflix #France

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Si ce n’était pas déjà une chanson de France Gall, Tout pour la lumière aurait pu s’appeler Tout pour la musique tant chanson et danse dominent la nouvelle série quotidienne diffusée à la fois par Netflix et TF1. Il suffit de passer une tête dans les coulisses du tournage, dans les studios de la Belle de mai à Marseille, pour entendre le tube de l’Américaine Billie Eilish « Bad Guys », fond musical d’une scène de dispute entre deux héroïnes.

En arrière-plan, dans une vaste salle de danse de briques rouges rappelant la cultissime série Fame, des figurants en débardeur s’échauffent. Puis, poussant deux autres portes du décor flambant neuf, on découvre une salle de musique remplie d’instruments et un élégant auditorium en bois où trône un piano à queue. Le ton, ou plutôt la tonalité, est donné.

Même si les coproducteurs ne veulent pas réduire le format à une comédie musicale, par crainte d’effrayer un public récalcitrant, c’est bien là le « plus » du nouveau feuilleton quotidien de TF1, qui diffuse déjà trois quotidiennes, Ici tout commence, Demain nous appartient, et Plus belle la vie, encore plus belle. « Parlons plutôt de saga familiale et sociétale dans le cadre d’une école de danse », précise Anne Didier, directrice artistique de la fiction française de TF1. « Il est vrai que nous mettons aussi en avant des talents capables de chanter, jouer et danser », concède Sonia Aksil, responsable des acquisitions chez Netflix France.

Le feuilleton de 90 épisodes de 26 minutes suit en parallèle les jeunes talents de la danse et du chant inscrits au studio Lumière à La Ciotat, ainsi que le retour d’une ancienne pop star dont la mère n’est autre que la directrice de l’établissement. Le feuilleton que comédiens et producteurs surnomment déjà « TP2L » navigue ainsi entre secrets de familles, intrigues amoureuses, rivalités et passions musicales.

Un casting maison

Au service de ces arches narratives se déroulant entre l’école, le café voisin, la colocation des étudiants, des villas avec vue sur mer et les sites naturels de La Ciotat, on retrouve des figures habituées du petit écran comme Joy Esther (elle a débuté dans la comédie musicale Belles belles belles et on l’a vue dans la série Nos chers voisins) dans le rôle de l’ex-vedette entourée de mystères, Isabel Otero (héroïne historique de Diane femme flic) dans la peau de la directrice du studio Lumière, Lannick Gautry (la minisérie Le Mystère du lac et ses dérivés) et Aurélien Wiik (Maison close, Le Bazar de la charité).

Également au casting : Flore Bonaventura, habituée des séries télé, l’humoriste Mathieu Madénian et deux comédiens issus du théâtre et du cinéma, Gilles Cohen (vu notamment dans les films d’Arnaud Desplechin et dans Le Bureau des légendes) ou Michaël Cohen (metteur en scène, héros de Maison close et Master Crimes).

Du côté des jeunes chanteurs-danseurs, place aux « talents maison » passés par les télé-crochets ou des comédies musicales. C’est le cas des anciens de The Voice : Clément Massy, demi-finaliste 2024, Gwendal Marimoutou, vu dans Le Roi lion et Résiste de France Gall, Vike, coaché par Amel Bent dans la saison 11 du télé-crochet, incarnant désormais Louis Béjart dans le spectacle musical Molière, Loris Triolo (finaliste de la saison 11), Marco Bouttin (saison 6), et Alex Doux (saison 8). Abdellah Boujalal et Charlie Loiselier ont été repérés dans The Voice Kids. Parmi les nouveaux visages, celui de Yara Charry, charismatique comédienne franco-brésilienne, et Louve Le Coadou, prometteuse diplômée d’une école de comédie musicale.

Un épisode en deux jours et demi de tournage

De quoi séduire une cible multigénérationnelle, grand savoir-faire de Netflix, qui n’a pas lésiné sur le budget. « À deux, on est plus forts », esquive Sonia Aksil pour ne révéler aucun chiffre. Quand une saison d’Ici tout commence (TF1) représente 40 millions d’euros, on peut estimer le double pour Tout pour la lumière, qui ne lésine pas sur le nombre de comédiens (26 récurrents), de figurants (une centaine par semaine), de techniciens (140 au quotidien entre les mois de mars et de juillet), ni sur la qualité des décors.

Le studio Lumière, qui a pris place dans les anciennes halles de La Ciotat, au cœur du village, avec un studio d’enregistrement dernier cri, est reconstitué pour la partie intérieure sur les 1 000 m2 de l’ancienne place du Mistral de Plus belle la vie, dans les studios marseillais de la Belle de mai. « Le style Eiffel du bâtiment a été conservé, dans des matériaux nobles, bois, briques, métal, souligne le directeur de production, Martin Berléand. On peut autant s’imaginer dans le sud de la France qu’au cœur de Brooklyn ! » De grandes verrières séparant les pièces, très élégantes, ne facilitent pas le travail des sept réalisateurs qui travaillent à tour de rôle sur deux tournages concomitants. Mais l’effet visuel claque.

« À Marseille et à La Ciotat, on tourne deux jours et demi pour un épisode », précise-t-il. Quant aux décors naturels, la production n’a que l’embarras du choix avec la baie de La Ciotat, le village et le bord de mer. « C’était important de jouer à fond la saga de l’été », précise Céline François, la productrice. « C’est important de faire rêver tout en restant authentique dans une vie citadine », ajoute Sonia Aksil.

Des reprises et des tubes disponibles après chaque épisode

Le géant du streaming vidéo « attendait depuis des années un projet de Fame à la française qui tienne la route pour se lancer dans une telle aventure », explique la responsable des acquisitions Netflix France. Grâce à Studio TF1 et l’équipe de 28 auteurs supervisés par Coline Assous, passés maîtres en la matière sur les autres quotidiennes, la plateforme semble avoir trouvé sa pépite.

À LIRE AUSSI Netflix, machine à cashC’était sans compter le flair et l’oreille musicale de Santi, directeur musical de TF1 au CV en béton : batteur du premier groupe de son cousin Manu Chao, ancien directeur d’Universal Music, juré de Popstars avant de superviser la direction musicale de Star Academy et The Voice… Le voici donc aux manettes musicales de Tout pour la lumière. Il promet déjà des reprises des tubes de Céline Dion, Dua Lipa, Clara Luciani, Stromae, Grégory Lemarchal, Jamelia… au cours des épisodes.

« Il a fallu un bloc financier costaud pour les droits d’auteur », glisse Santi. « Et, comme ça chante dans tous les épisodes, il a aussi fallu composer des tubes », ajoute-t-il. Chaque jeune talent a donc ses titres écrits sur mesure pour coller à son personnage et à son style musical, chantés en live pendant les épisodes et repris en postproduction.

« Nous avons sélectionné 27 titres inédits sur 150 écoutes », ajoute Santi, qui s’est entouré des plumes de Pascal Obispo, Calogero, Amel Bent, Angèle (qui a eu droit à son documentaire sur Netflix en 2021), Dua Lipa, Gims et Sexion d’assaut. Vitaa est aussi de la partie, comme « guest » dans le feuilleton. La production ne s’interdit pas d’autres invités surprises, encore en négociation. Dès la fin d’un épisode, le titre chanté sera immédiatement disponible sur les plateformes musicales.

Et un clip pétillant réunissant la jeune troupe annonce même la diffusion. Le modèle de Glee, la série phénomène qui devint une vitrine de la pop, fonctionne à plein régime. Dans la série comme dans la réalité, toute la troupe est coachée par une chorégraphe, des professeurs de chant et de musique. « Rien n’est laissé au hasard, et les parties chantées et dansées sont menées au cordeau », assure Martin Berléand, le directeur de production.À LIRE AUSSI HPI : les dessous du final de la série phénomène de TF1


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Si Netflix et TF1 n’en sont pas à leur premier partenariat (Le Bazar de la charité, Les Combattantes, L’Agence), ils tapent fort avec ce nouveau format original et un mode de diffusion inédit. Netflix lance trois épisodes les 13, 14 et 15 juin. Arrivée sur TF1 le 16 juin à 18 heures.

« Chaque épisode est ainsi disponible pour nos abonnés avec cinq jours d’avance », explique Sonia Aksil. « On n’avait pas en France de pépites comme Fame ou Un, dos, tres, portés par des visages populaires et un vivier de stars, autour de ce qui nous réunit tous, la musique », s’enthousiasme Anne Didier, directrice de la fiction française de TF1. Au vu du succès des dernières saisons de Star Academy, The Voice et Danse avec les stars, nul doute que l’audience sera à la hauteur des ambitions.


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