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Threads connaît un démarrage en trombe. Le nouveau réseau social de Meta, la maison-mère de Facebook détenue par Mark Zuckerberg, a été lancé mercredi 5 juillet. Quelques heures seulement après sa mise en ligne, l’application comptait déjà plus de 10 millions d’abonnés. Grâce à Threads, Meta entend clairement rivaliser avec Twitter, propriété d’Elon Musk. Et la presse américaine le confirme. Discussions (« fils de discussion » en français et expression clé sur Twitter) « cibler les utilisateurs à la recherche d’une solution alternative à la plateforme détenue par Elon Musk», relève le Poste de Washington.
Le quotidien ose même une comparaison dans un autre article : « Tels les invités débarquant sur le lieu d’un mariage, les utilisateurs qui ont rejoint Threads mercredi soir ont probablement trouvé des visages familiers dans un environnement qui ne leur était pas familier. »
De son côté, « Twitter est en plein chaos et Mark Zuckerberg saute sur l’occasion », titre CNN sur son site. Le PDG de Meta, souligne le média américain, « essaye depuis des années de s’attaquer à Twitter». Et « aujourd’hui, il pourrait enfin avoir sa meilleure chance de porter un coup fatal au réseau social […] ». Voiture, rappelle CNN, « Twitter a traversé crise sur crise sous la direction d’Elon Musk» : mises hors service, pannes de système à répétition ou plus récemment, une limite quotidienne du nombre de publications consultables. Résultat : Twitter est en perte de popularité et cela semble profiter au nouveau venu Threads.
Mais le Poste de Washingtontempère en rappelant que Threads « ne permet pas encore l’utilisation des hashtags, les mots-clés, un outil précieux pour à la fois s’informer et organiser des mouvements sociaux». Le quotidien cite pour exemples les hashtags #MeToo ou #BlackLivesMatter, qui restent pour le moment le propre de Twitter.
Au Nicaragua, le cas de l’évêque Rolando Álvarez fait de nouveau parler dans la presse. Fervent opposant au régime du président Daniel Ortega, l’homme d’Église avait été condamné à 26 ans de prison en février pour avoir refusé de quitter le pays avec 222 autres prisonniers politiques. Plusieurs médias ont annoncé sa libération mardi 4 juillet, lorsqu’il a été conduit hors de son lieu de détention. Mais il est finalement retourné derrière les barreaux, faute d’accord sur sa «libération définitive», rapporte Confidentiel. Sa remise en liberté éphémère avait eu lieu dans le cadre d’une «négociation entre le Vatican, le gouvernement nicaraguayen et l’épiscopat local», précise le média en ligne. Mais ces discussions n’ont pas abouti. De son côté, La Prensa revient sur le cas «passionnant» de cet évêque qui dénonce ce qu’il qualifie de restrictions de la liberté religieuse sous le gouvernement de Daniel Ortega.« La possibilité qu’il sorte de prison et soit banni du Nicaragua est restée latenteexplique La Prensa,car il s’agit d’un prisonnier avec un poids important sur les plans national et international». Il est « très problématique pour un régime comme celui en place au Nicaragua »,poursuivre le quotidien. Confidentiel rappelle qu’en mars, «le régime de Daniel Ortega a rompu ses relations avec le Vatican». Le pape François avait alors qualifié le pays de «dictature hitlérienne».
Une partie des États-Unis est toujours confrontée à une vague de chaleur extrême, avec des températures montant jusqu’à 45 degrés dans le sud du pays. Ces fortes chaleurs sont particulièrement dangereuses pour les personnes les plus fragiles. CNN rapport que le corps d’un« homme de 65 ans a été retrouvé dans la Vallée de la Mort», dans le sud de la Californie. Ce décès est vraisemblablement dû aux «chaleurs extrêmes».
Mais ce phénomène ne se limite pas aux États-Unis. Le quotidien péruvien Expresso alerte sur le phénomène El Niño «qui a commencé à se manifester à l’échelle planétaire», prévient le quotidien. Il s’agit d’un phénomène cyclique se traduisant par une baisse des vents au-dessus du Pacifique. Cela entraîne une élévation de la température à la surface de l’eau et provoque des épisodes de sécheresse ou de fortes pluies. L’Organisation météorologique mondiale a déclaré le retour du phénomène, après sept ans d’absence. Toujours selonExpressoparmi les zones qui pourraient être concernées, on retrouve« l’Amérique du Sud, les États-Unis, ou encore l’Australie».
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